Cité de l'Architecture (Dailymotion) :
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Cité de l'Architecture (Dailymotion) le 24/04/2020 à 11:56:00 - Favoriser || Lu/Non lu
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Juan Navarro Baldeweg ES
Cité de l'Architecture (Dailymotion) le 18/02/2019 à 10:00:00 - Favoriser || Lu/Non lu
Peintre et plasticien, Juan Navarro Baldeweg (Santander, 1939), après un diplôme à l’École technique supérieure d’architecture de Madrid en 1965, part pour les États-Unis sur invitation du Massachussetts Institute of Technology en tant qu’artiste résident. Il y réalise photomontages et dessins
pour sa recherche de création d’environnements artificiels recréant des écosystèmes terrestres au sein de grandes structures pneumatiques sous
contrôle climatique. Il questionne les fondamentaux de l’architecture : lumière, espace, gravité… De retour à Madrid en 1977, il y enseigne dès lors à l’École technique supérieure d’architecture. Auteur d’une oeuvre importante, il reçoit en Espagne le prix national des arts plastiques en 1990, la médaille d’or de l’architecture en 2008, et le prix national de l’architecture en 2014.
Parmi ses réalisations emblématiques :
la rénovation des anciens moulins de Murcia, 1984-1988
Le complexe architectural du Musée des grottes d’Altamira en Cantabrie, 1993-2000, restitution de la grotte fermée au public en 1977
La revitalisation du Balcon du Guadalquivir, Cordoue, 2001-2005
Le Kunsthal KAdE, musée et bibliothèque, nouveau bâtiment du Dutch National Cultural Heritage Department, Amersfoort, Pays-Bas, 2003-2009
Le Musée de l’évolution humaine à Burgos, 2000-2011
La Bibliotheca Hertziana de l’Institut Max-Planck pour l’histoire de l’art à Rome, 1995-2011.
pour sa recherche de création d’environnements artificiels recréant des écosystèmes terrestres au sein de grandes structures pneumatiques sous
contrôle climatique. Il questionne les fondamentaux de l’architecture : lumière, espace, gravité… De retour à Madrid en 1977, il y enseigne dès lors à l’École technique supérieure d’architecture. Auteur d’une oeuvre importante, il reçoit en Espagne le prix national des arts plastiques en 1990, la médaille d’or de l’architecture en 2008, et le prix national de l’architecture en 2014.
Parmi ses réalisations emblématiques :
la rénovation des anciens moulins de Murcia, 1984-1988
Le complexe architectural du Musée des grottes d’Altamira en Cantabrie, 1993-2000, restitution de la grotte fermée au public en 1977
La revitalisation du Balcon du Guadalquivir, Cordoue, 2001-2005
Le Kunsthal KAdE, musée et bibliothèque, nouveau bâtiment du Dutch National Cultural Heritage Department, Amersfoort, Pays-Bas, 2003-2009
Le Musée de l’évolution humaine à Burgos, 2000-2011
La Bibliotheca Hertziana de l’Institut Max-Planck pour l’histoire de l’art à Rome, 1995-2011.
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Juan Navarro Baldeweg VF
Cité de l'Architecture (Dailymotion) le 18/02/2019 à 09:40:00 - Favoriser || Lu/Non lu
Peintre et plasticien, Juan Navarro Baldeweg (Santander, 1939), après un diplôme à l’École technique supérieure d’architecture de Madrid en 1965, part pour les États-Unis sur invitation du Massachussetts Institute of Technology en tant qu’artiste résident. Il y réalise photomontages et dessins
pour sa recherche de création d’environnements artificiels recréant des écosystèmes terrestres au sein de grandes structures pneumatiques sous
contrôle climatique. Il questionne les fondamentaux de l’architecture : lumière, espace, gravité… De retour à Madrid en 1977, il y enseigne dès lors à l’École technique supérieure d’architecture. Auteur d’une oeuvre importante, il reçoit en Espagne le prix national des arts plastiques en 1990, la médaille d’or de l’architecture en 2008, et le prix national de l’architecture en 2014.
Parmi ses réalisations emblématiques :
la rénovation des anciens moulins de Murcia, 1984-1988
Le complexe architectural du Musée des grottes d’Altamira en Cantabrie, 1993-2000, restitution de la grotte fermée au public en 1977
La revitalisation du Balcon du Guadalquivir, Cordoue, 2001-2005
Le Kunsthal KAdE, musée et bibliothèque, nouveau bâtiment du Dutch National Cultural Heritage Department, Amersfoort, Pays-Bas, 2003-2009
Le Musée de l’évolution humaine à Burgos, 2000-2011
La Bibliotheca Hertziana de l’Institut Max-Planck pour l’histoire de l’art à Rome, 1995-2011.
pour sa recherche de création d’environnements artificiels recréant des écosystèmes terrestres au sein de grandes structures pneumatiques sous
contrôle climatique. Il questionne les fondamentaux de l’architecture : lumière, espace, gravité… De retour à Madrid en 1977, il y enseigne dès lors à l’École technique supérieure d’architecture. Auteur d’une oeuvre importante, il reçoit en Espagne le prix national des arts plastiques en 1990, la médaille d’or de l’architecture en 2008, et le prix national de l’architecture en 2014.
Parmi ses réalisations emblématiques :
la rénovation des anciens moulins de Murcia, 1984-1988
Le complexe architectural du Musée des grottes d’Altamira en Cantabrie, 1993-2000, restitution de la grotte fermée au public en 1977
La revitalisation du Balcon du Guadalquivir, Cordoue, 2001-2005
Le Kunsthal KAdE, musée et bibliothèque, nouveau bâtiment du Dutch National Cultural Heritage Department, Amersfoort, Pays-Bas, 2003-2009
Le Musée de l’évolution humaine à Burgos, 2000-2011
La Bibliotheca Hertziana de l’Institut Max-Planck pour l’histoire de l’art à Rome, 1995-2011.
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OFFICE versus Éric Lapierre Experience
Cité de l'Architecture (Dailymotion) le 05/02/2019 à 09:11:00 - Favoriser || Lu/Non lu
Jeudi 24 janvier 2019
Soirée-débat inaugurale, saison 1-2019 de la Plateforme de la création architecturale.
Principe d’un face-à-face trimestriel entre deux équipes d’architectes, l’une exerçant en France, Eric Lapierre, l’autre dans un autre pays européen, Office.
Critique invité : Andreas Ruby
En relation avec l’installation OFFICE versus Éric Lapierre Experience
https://www.citedelarchitecture.fr/fr/evenement/installationsoffice-versus-eric-lapierre-experience
Soirée-débat inaugurale, saison 1-2019 de la Plateforme de la création architecturale.
Principe d’un face-à-face trimestriel entre deux équipes d’architectes, l’une exerçant en France, Eric Lapierre, l’autre dans un autre pays européen, Office.
Critique invité : Andreas Ruby
En relation avec l’installation OFFICE versus Éric Lapierre Experience
https://www.citedelarchitecture.fr/fr/evenement/installationsoffice-versus-eric-lapierre-experience
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Autour de Jean-Louis Garnell
Cité de l'Architecture (Dailymotion) le 04/02/2019 à 09:00:00 - Favoriser || Lu/Non lu
Projection-débat en présence de Jean-Louis Garnell et de Michel Poivert, professeur d’histoire de l'art (photographie) à l’Université Paris 1 Panthéon- Sorbonne.
En marge de l’exposition L’Art du chantier. Construire et démolir, (XVIe – XXIe siècles) En 1985 et 1986, Jean-Louis Garnell photographie des « paysages en transformation », dans le cadre de la commande de la Mission photographique de la DATAR. Récemment revisité avec des clichés qui n’avaient pas été montrés à l’époque, ce travail s’avère fondateur. Photographiant par la suite le chantier du tunnel sous la Manche, Porto Marghera, Fos-sur-Mer ou l’évolution de la commune de banlieue où il réside depuis des années, Jean-Louis Garnell s’intéresse à ce qu’il y a d’indéterminé dans ces lieux, entre ce qui va venir et ce qui était avant, dans un regard plus méditatif que documentaire, sans entrer dans la fiction. Portant librement un même regard sur l’intérieur et sur l’extérieur, Jean-Louis Garnell a construit une œuvre forte et dense autour de lieux a priori sans attraits particuliers, questionnant leur désordre, leur fragilité, leurs transformations tout en se questionnant lui-même
En marge de l’exposition L’Art du chantier. Construire et démolir, (XVIe – XXIe siècles) En 1985 et 1986, Jean-Louis Garnell photographie des « paysages en transformation », dans le cadre de la commande de la Mission photographique de la DATAR. Récemment revisité avec des clichés qui n’avaient pas été montrés à l’époque, ce travail s’avère fondateur. Photographiant par la suite le chantier du tunnel sous la Manche, Porto Marghera, Fos-sur-Mer ou l’évolution de la commune de banlieue où il réside depuis des années, Jean-Louis Garnell s’intéresse à ce qu’il y a d’indéterminé dans ces lieux, entre ce qui va venir et ce qui était avant, dans un regard plus méditatif que documentaire, sans entrer dans la fiction. Portant librement un même regard sur l’intérieur et sur l’extérieur, Jean-Louis Garnell a construit une œuvre forte et dense autour de lieux a priori sans attraits particuliers, questionnant leur désordre, leur fragilité, leurs transformations tout en se questionnant lui-même