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[hal-01888751] Acteurs, modèles et modes de conception des espaces usiniers

HAL - MC-BRAUP le 05/10/2018 à 14:19:00 - Favoriser ||  Lu/Non lu

Étude visant à repérer les influences qu'exercent les intervenants concernés sur la conception de l'architecture de l'industrie. L'accent a été porté sur les critères de choix et les modèles spatiaux et architecturaux exprimés par les acteurs et diffusés par la presse professionnelle. Parallèlement il a été tenté de préciser ce que les divers acteurs entendent par "architecture" et le rôle qu'ils lui fixent, la démarche adoptée étant essentiellement qualitative.

[hal-03792667] Pour une vision collective de la transformation des grands ensembles " Ancely 2050 " - L'habitant au cœur du projet Recherche en vidéo concertation

HAL - MC-BRAUP le 19/10/2022 à 19:28:00 - Favoriser ||  Lu/Non lu

La recherche conduite dans le cadre du programme "Architecture du XXe siècle, matière à projet de la ville durable du XXIe siècle" et rapportée à la métropole toulousaine « Toulouse, du grand ensemble à la ville durable. Prospectives et Action » a conduit à une série de constat qui interrogent leur processus de transformation. Ces constatations, au nombre de cinq, semblent appeler une réflexion dans le cadre une réponse opérationnelle. Le défaut de prise en compte du « sens originel du projet » dans la conception de nouvelles interventions. La notion d’identité patrimoniale pour faire consensus. La nécessité d’outils plus ouverts au service d’une transformation mesurée. La co-construction plutôt que la concertation. Le besoin d’un enseignement de la réhabilitation. La réhabilitation de masse du logement conduite par les gouvernements successifs interroge dans sa fabrication le processus de projet ainsi que la place offerte aux habitants, premiers concernés. Cette recherche propose la mise au point d’un outil de co-construit sur la résidence Ancely à Toulouse. Ancely (1963-1973), réalisé par l’architecte Henri Brunerie pour la Société coopérative HLM de la Haute Garonne, et composé de 766 logements collectifs et de 90 maisons individuelles, de deux écoles maternelle et élémentaire, d’une piscine, de locaux associatifs, de commerces, de terrains de jeux et de sport. Le travail sur les jeux d’acteurs objet de la thèse de Cedric Dupuis, la recherche constante de valorisation de la place des habitants dans les différentes étapes de la recherche, l’exigence d’un ancrage des orientations générales et des politiques, en terme de réhabilitation, à un contexte local situé nous ont conduit à ré-évaluer la place de chacun dans la définition du projet de réhabilitation d’un grand ensemble. En parallèle, nos constats sur l’impuissance des outils de diagnostics et de concertation existants à pouvoir construire un récit collectif nous ont poussés à interroger le médium même de ce récit. Pour cela nous proposons la vidéo autour de la problématique suivante : comment peut-on par la vidéo concertative, repenser l’ordre et la place des habitants, collectivités, gestionnaires et même de l’enseignant chercheur dans le but de la co-construction du projet de réhabilitation du grand ensemble ? Cette expérimentation vise à enrichir le processus de transformation du quartier au moyen du recours au savoir de la maitrise d’usage et en écoutant ses besoins réels et projections. Permettre une implication citoyenne dans la transformation du cadre de vie et favoriser le respect des aménagements dans un temps long. Mieux identifier le rôle de chacun et l’ordre des décisions dans la transformation des grands ensembles. Cette expérimentation a été conduite en partenariat avec le Bureau de la Recherche Architecturale, Urbaine et Paysagère du Ministère de la Culture et de la Communication, l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse et son Laboratoire de Recherche en Architecture.

[hal-03760978] Individuel dess(e)in. Quel avenir pour le parc des maisons individuelles en première couronne des agglomérations françaises face à la transition énergétique ?

HAL - MC-BRAUP le 18/10/2022 à 14:11:00 - Favoriser ||  Lu/Non lu

Dans un contexte de transition énergétique, l’objet de cette recherche consistait à étudier l’adaptation et la transformation du parc des maisons individuelles existantes en première couronne de plusieurs agglomérations françaises (Paris, Nantes, Orléans, Grenoble) au regard des nouvelles exigences de confort thermique et spatial. Avec environ 57 % des logements, le parc immobilier constitué par les maisons individuelles (MI) est prédominant dans la consommation d'énergie de l'habitat en France. Le renouvellement de ce parc en termes de confort technique et de qualité architecturale est considéré comme l'une des priorités pour faire face aux enjeux climato-énergétiques contemporains. Plusieurs mesures ont été prises ces quinze dernières années en France : suite au Grenelle de l’Environnement en 2007, les lois Grenelle 1 (3 août 2009) et Grenelle 2 (12 juillet 2010) ont été votées. Celles-ci stipulent une rénovation des constructions existantes (art. 5), et fixent une limite de la consommation des bâtiments neufs en énergie primaire à 50 kWh/m²/an (art. 4). Cette dernière exigence a été mise en place avec la RT 2012 (réglementation thermique). La future RT 2020 devrait quant à elle entraîner la construction de bâtiments à énergie positive (BEPOS). La loi ALUR (14 mars 2014) favorise, elle, une densification du pavillonnaire en supprimant les COS (Coefficient d’occupation des sols) et la dimension minimale des surfaces de terrain pour construire. Dans le cadre de cette recherche, nous nous sommes intéressés à la manière de repenser ce patrimoine bâti. en documentant les évolutions de diverses situations du parc des MI à partir de plusieurs terrains, au prisme des trajectoires habitantes de différents types de propriétaires. En effet, la démolition et la construction de nouvelles MI performantes ne peuvent être réalisées à court terme. Une partie importante du parc de MI devra être rénovée dans les prochaines années pour que la consommation d’énergie dans le bâti ait des chances de s'infléchir réellement. Déjà, on peut observer une diversité de situations quant à la forme prise par la rénovation de ces maisons individuelles : mise en place de dispositifs techniques visant à améliorer le confort thermique, modifications morphologiques, extensions, réaménagements… Quatre terrains d’étude ont été choisis dont les parcs de maisons individuelles font l’objet d’enjeux fonciers et économiques importants : Fontenay-aux-Roses pour Paris, Rezé pour l’agglomération nantaise, la commune de Saint Egrève pour Grenoble, et Olivet pour Orléans. Cette recherche sur l’évolution des maisons individuelles existantes suite aux nouvelles exigences thermiques comprend deux volets : • Une étude située de l’évolution du pavillonnaire existant dans les quatre terrains d’études choisis, comprenant : -des analyses géographique, historique, typologique… afin de mettre en évidence les particularités du pavillonnaire et de son parcellaire ; -des entretiens auprès des maires, des services techniques, des agences immobilières, de propriétaires ; -des études multicritères de maisons ayant fait récemment l’objet de travaux, intégrant des typologies différentes. • Une réflexion prospective, correspondant à une recherche par le projet : -à partir des analyses, nous effectuons des suggestions de transformations opérationnelles voire un travail projectuel pour certains des territoires analysés afin de favoriser leur amélioration thermique et spatiale et/ou une restructuration ; -l’étude sur les évolutions possibles privilégie, au-delà de l’échelle individuelle de ces maisons, celle des îlots qui les structurent et permet de sélectionner différents terrains comme autant de cas de figures à tester. Tout au long de l’étude, un état de l’art sur le thème de la transformation du pavillonnaire sera poursuivi afin de prendre en compte les évolutions constantes des recherches et des projets sur le sujet. L’interaction pédagogique est prévue à plusieurs niveaux : - par l’engagement d’étudiants des différents cycles LMD participant à la réalisation des objectifs de recherche ; - par la sensibilisation dans le cadre de module de projet, mais aussi de cours théoriques sur la pathologie des bâtiments, aux questions actuelles essentielles de la rénovation thermique et d’une densification « soutenable » du parc de maisons individuelles existants. Ce projet a engagé des équipes de recherche de cinq écoles l’UR AMP de l’ENSA de Paris la Villette, l’UR CRENAU de l’UMR AAU de l’ENSA de Nantes, l’UR CRESSON de l’UMR AAU de l’ENSA de Nantes, l’UR GRECCAU de l’ENSAP de Bordeaux, mais également des professionnels. Son objectif était double : -produire une synthèse actualisée des connaissances sur le devenir du parc des maisons individuelles en première couronne des agglomérations françaises, questionnant l’obsolescence de ce patrimoine face aux enjeux de la transition énergétique contemporaine, par des enquêtes auprès des différents acteurs (maires, directeurs des services techniques, agences immobilières, propriétaires…) et par des analyses de travaux réalisés ; -réfléchir à des propositions de transformations « frugales » du pavillonnaire, à partir d’une recherche par le projet, en synergie interdisciplinaire entre praticiens, chercheurs et habitants, proposant une réflexion à l’échelle des îlots, appropriables conjointement et transversalement par tous, afin d’élaborer un paysage bâti soutenable.

[hal-03760749] Le réemploi en architecture, de la théorie à la pratique : conception / réalisation d'espaces de démonstration dans la métropole grenobloise

HAL - MC-BRAUP le 31/08/2022 à 18:33:00 - Favoriser ||  Lu/Non lu

LE RÉEMPLOI EN ARCHITECTURE, DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE : CONCEPTION/RÉALISATION D’ESPACES DE DÉMONSTRATION DANS LA MÉTROPOLE GRENOBLOISE Notre proposition, portée par l’ENSA de Grenoble en partenariat avec l’UGA (Université de Grenoble-Alpes), la Métro (Grenoble-Alpes Métropole) et Aplomb (entreprise de formation) se situe en prolongement direct, tant sur le plan opérationnel que sur le plan pédagogique, dans la continuité du projet de recherche retenu en 1ère session (automne 2016). Sous le titre initial « Réemploi et conception architecturale : les ressources matérielles, techniques et culturelles d’un territoire comme potentiels de projet soutenable », notre projet de recherche engagé fin 2016 entendait démontrer comment le réemploi d'éléments, de produits, de matériaux de construction de l'architecture du 20ème siècle peut produire des modes de conception et de construction plus locaux et soutenables. Elle a permis de développer 3 axes principaux de réflexion sur la chaîne de production et de réflexion qu’engage le réemploi en architecture : 1/ les enjeux et méthodes des inventaires, diagnostics et études préalables, avant la déconstruction des ouvrages ; 2/ les conditions du rapprochement de l’offre et de la demande avec l’organisation de filières, réseaux et compétences adaptées ; 3/ les méthodes et expériences de conception et réalisation « intégrative », les savoir-faire associant étroitement création et construction. Notre projet initial prévoyait déjà une phase d’expérimentation locale à travers la réalisation de petits édifices à base d’éléments de réemploi, avec comme partenaire la SPL SAGES à Grenoble. Il s’est heurté à des difficultés pratiques, dont certaines sont d’ailleurs inhérentes au domaine spécifique du réemploi : temps nécessaire pour identifier des ressources, faiblesse et manque de disponibilité des « gisements » locaux, difficultés de coordination et de synchronisation des acteurs opérationnels… Le projet de recherche a en revanche permis de développer une coopération de plus en plus poussée avec les services de la Métro (service Prévention, collecte et valorisation des déchets de Grenoble-Alpes Métropole - la Métro). Cette coopération a notamment permis en 2018-2019 l’organisation de 3 journées d’études à l’ENSAG sur le thème « Réemploi et pratiques constructives », qui ont connu un large succès auprès des professionnels du BTP. Cette coopération avec la Métro nous fournit en 2020 l’opportunité qui nous a manqué auparavant pour participer à la réalisation de petits édifices « démonstrateurs », à partir de programmes qui correspondent aux besoins à court terme de la Métro, avec des engagements budgétaires prévus pour 2020. Ces programmes traduisent la volonté de la Métro, au-delà même des évolutions législatives prévisibles pout lutter contre le gaspillage, d’apporter des réponses locales déjà bien structurées. Ils ont été choisis pour leur exemplarité, ils sont tous susceptibles de donner une large visibilité à l’utilisation du réemploi en architecture auprès de différents publics (professionnels du BTP, grand public, acteurs de l’économie circulaire, etc.). L’autre partenaire essentiel de notre proposition, qui rend le projet réaliste et renforce sa relation avec la pédagogie et la formation, est le centre de formation APLOMB, basé à Saint-Marcellin (à 30 km de Grenoble). Celui-ci peut prendre en charge des chantiers expérimentaux, avec des stagiaires en Architecture de l’ENSAG ou en Génie civil à l’UGA. APLOMB existe depuis 2009 et a déjà mis en place depuis quelques années une plateforme locale de distribution d’éléments de construction de récupération (ECOMAT)

[hal-03760946] La réhabilitation des façades légères dans l'habitat du XXe siècle, de l'étude à l'expérimentation

HAL - MC-BRAUP le 31/08/2022 à 18:13:00 - Favoriser ||  Lu/Non lu

L’intervention sur l’architecture du XXe siècle constitue un défi majeur pour les professionnels qui œuvrent aux réhabilitations architecturales et urbanistiques en intégrant une démarche de transition écologique. Dans ce cadre, quels enjeux recouvrent aujourd’hui les expérimentations en architecture, considérant qu’il est essentiel de préserver les qualités historiques et patrimoniales d’un existant tout en tenant compte des conditions économiques des occupants, des exigences en termes de confort, comme de l’environnement ? Cette recherche est conduite dans le cadre du programme scientifique de la Chaire partenariale d’enseignement et de recherche en architecture « Habitat du Futur ». Elle poursuit l’ambition de définir une démarche expérimentale susceptible de trouver des développements contemporains en matière de réhabilitation de façades légères, tout en ayant un impact de chantier réduit sur l’intervention et le coût, et d’améliorer les ambiances de vie. En effet, les citadins, qui ont de tout temps cherché à moduler leurs perceptions sensibles du logement, du voisinage et de l’environnement, ressentent aujourd’hui des inconforts du fait du bâti et vont avoir à gérer, d’ici 2050, un changement climatique déjà opérant. Conçu par les architectes François-Régis Cottin, Marcel Dallière et Alain Chastel, l’immeuble Les Cèdres, objet de la réhabilitation, est une expression radicale de la modernité. Il est doté de façades légères en mur-rideau, composées de panneaux sandwichs préfabriqués en aluminium signés par Jean Prouvé. Leur design mécanique et industriel reflète les méthodes constructives de l’époque. Leur finesse engendre néanmoins des problématiques d’isolation thermique et acoustique et un inconfort pour les habitants. L’hypothèse consiste à renforcer l’enveloppe légère initiale par une seconde enveloppe économique constituée de matériaux biosourcés. Les façades des logements construits dans cette région lors de la seconde moitié du XXe siècle souffrent de stratégies d’amélioration thermique drastiques, sans évaluation des dégradations du confort lumineux, sonore et du flux ventilant qui en résultent. Pour inverser la tendance, la thèse propose de fabriquer un guide de diagnostic et d’expérimentation, avant intervention complète, pouvant s’adapter au secteur économique qui s’illustre aujourd’hui sur ce type de bâti, généralisant ainsi une approche éco-responsable et co-construite de la réhabilitation, et ceci dans le cadre très contraignant d’une copropriété. Afin d’améliorer les performances de l’immeuble, tout en préservant sa qualité plastique, technique et patrimoniale, une recherche pluridisciplinaire est mise en place. Elle a débuté par un travail de diagnostics approfondis rythmé par des entretiens sur le vécu, des phases de recherches archivistiques, de relevés, de diagnostics architecturaux, patrimoniaux, thermiques, acoustiques, structurels et énergétiques, afin d’avoir une connaissance quasi exhaustive du bâtiment. S’en est suivie une période de conception explorant l’ensemble des expérimentations constructives et ambiantales possibles pour réhabiliter les façades légères de l’immeuble Les Cèdres, puis la réalisation de prototypes, à l’échelle 1 : 1, réalisés avec les Grands Ateliers Innovation Architecture de l’Isle d’Abeau et les entreprises partenaires. L’expérimentation propose donc de concevoir et de tester un ensemble de prototypes cohérents selon la visée économique, écologique, ambiantale, architecturale et patrimoniale recherchée, avant de passer à la réhabilitation complète. Le montage financier pour la copropriété a fait l’objet d’une recherche d’aides permettant aux habitants peu fortunés d’investir dans les travaux. La démarche proposée pourrait trouver de multiples applications sur un corpus d’immeubles du XXe siècle ayant une façade légère, mais elle pourrait également être génératrice d’une attitude éco-responsable inaugurale pour réhabiliter les immeubles en copropriété de cette époque.